Dans une de ses lettres, l’apo?tre Paul,
apre?s avoir laisse? deviner combien il devait affronter
de souffrances, de luttes, de de?ceptions, a e?crit :
« Mais le Dieu qui console ceux qui sont abattus
nous a console?s. »
A Esai?e son prophe?te et serviteur, l’Eternel disait :
« C’est moi, c’est moi qui vous console !
Qui es-tu pour avoir peur de l’homme pe?rissable,
qui passera comme l’herbe ? »
A Je?re?mie, Dieu disait :
« Je changerai leur deuil en alle?gresse,
et je les consolerai ! »
Les serviteurs du Tout-Puissant, sur la terre,
doivent e?tre ses collaborateurs ; aussi, a? eux, Dieu dit :
« Consolez, consolez mon peuple !
Annoncez-lui que son temps d’e?preuve a pris fin,
que son iniquite? est pardonne?e… »
Si le Cre?ateur de l’univers posse?dait une carte d’identite?,
il y serait inscrit :
Signes distinctifs :
Aime. Console. Rassure. Porte. Soutient. Cajole. Re?jouit. Pardonne.
Sa saintete? est absolue,
et l’humanite? lui doit respect, adoration et obe?issance ;
mais, au de?part,
il y a l’amour.
Dans notre monde impre?gne? de haine et de violence,
sans he?sitation, allons donc a? celui qui a les bras ouverts
et qui n’a qu’un seul de?sir :
qu’on vienne s’y jeter !
