Un jour que les pharisiens et les principaux sacrificateurs
soumettaient au Sanhe?drin le « proble?me » de Je?sus de Nazareth,
qui venait me?me de ressusciter Lazare,
Cai?phe leur dit :
« Il est avantageux pour vous
qu’un seul homme meure pour le peuple,
et que la nation entie?re ne pe?risse pas. »
Quelques jours plus tard, Je?sus, lui, disait a? ses disciples :
« Il est avantageux pour vous que je m’en aille,
car si je ne pars pas,
le Consolateur ne viendra pas vers vous ;
mais si je m’en vais, je vous l’enverrai. »
« Avantageux »…
le supplice et la mort affreuse du Messie, le Fils de Dieu…
Le mot fait mal… et pourtant Je?sus l’utilisa.
Mais avant cela, il avait dit :
« Car Dieu a tellement aime? le monde,
qu’il a donne? son Fils, son unique,
afin que QUICONQUE croit en lui ne pe?risse pas,
mais qu’il ait la Vie e?ternelle. »
Quel « avantage » extraordinaire, en effet !
Quelle gra?ce et quel cadeau !
Ne nous en privons pas
et re?pandons autour de nous cette BONNE nouvelle !
