Tu as de petits moyens d’existence,
et tu souffres de ne pas pouvoir mieux, et davantage,
aider le peuple de Dieu de?muni.
Mais si l’apo?tre Paul pouvait dire :
« …car c’est lorsque je suis faible que je suis fort… »,
tu peux le dire aussi :
car c’est lorsque j’ai peu, mais que,
comme la veuve admire?e par Je?sus,
je donne de mon ne?cessaire,
que je suis riche !
Car toi,
tu mets tes « petits pains » et tes « petits poissons »
dans les mains du Roi, qui seul re?gne :
tu lui donnes ta di?me ; ton dix pour cent…
Et lui, a? qui l’or et l’argent appartiennent,
il rec?oit, avec joie, ton don ;
il veut en avoir besoin, et il t’offre d’e?tre,
toi, a? vues humaines, si « pauvre »,
il t’offre d’e?tre partenaire dans son œuvre !
Ta richesse,
c’est ton obe?issance,
ton amour,
ton courage aussi,
et ta confiance en lui…
N’est-ce pas, re?ellement,
LA RICHESSE ?